Le soubrette est en tenue de bonniche pour faire le ménage, les corvées, faire la cuisine, servir à table ses maitres. Dans cette tenue elle peut etre aussi offerte aux males alpha.
Un travesti contrairement au sissy n'a pas besoin d'avoir le sexe en cage. En général il essaye de ressembler le plus possible à la femme sans pour cela etre obligé au sexe.
Beaucoup de sissy commence comme travesti.
Une sissy ne peux plus satisfaire les femmes.
De ce fait elle doit se substituer aux femmes, qui n'acceptent pas tout des males,elle doit perdre sa virilité et son ego en mettant sa bite en cage. elle doit montrer sa soumission et qu elle est une lopette en ne mettant plus que des culottes satin à froufrou, robes, soutien gorge, bas, maquillage, perruque, parfum etc.
la sissy doit tout accepter, satisfaire les desirs vicieux des males alpha et leurs obéir. (fellation en gorge profonde en avalant le sperme, sodomies a la chaines, baffes, humiliation en laisse, tournantes, gang bang, bukkake) En devenant leurs vides couilles et ressemblant le plus possible a une femme soumise.
entièrement rasée, sexe en cage, lingerie sexy pour exciter, maquillée, parfumée femme.
Tout cela en gémissant, sans se plaindre et en gardant le sourire !!
L’expression “sissy soumise” désigne dans les communautés BDSM et fétichistes une personne (majoritairement un homme) qui adopte une identité féminine et s’engage dans un rôle de soumission extrême, souvent pour satisfaire des désirs d’humiliation, de contrôle et de transformation imposés par un partenaire dominant ou une dominatrice. Le terme “sissy” vient de l’anglais, se traduisant littéralement par “poule mouillée”, mais a été réapproprié dans ces milieux pour désigner des hommes qui acceptent une féminisation volontaire ou forcée, recherchant l’obéissance, l’humiliation, et l’effacement ou la transformation de leur masculinité.
La sissy soumise doit obéir aveuglément à la personne dominante, adopter des rituels quotidiens de soumission, et parfois tenir un journal pour rendre compte de ses progrès et de ses échecs.
L’uniforme féminin (lingerie, jupons, talons hauts) et des exercices de posture, de voix, ainsi que des rituels comme la récitation d’affirmations renforcent le sentiment d’obéissance et de perte d’identité masculine.
Pour certaines, la sissyfication peut inclure des éléments de chasteté forcée, de “milking” ou de service sexuel, toujours avec une forte dimension de perte de contrôle et d’humiliation.
Le processus de devenir “sissy soumise” suppose une déconstruction volontaire de l’ego masculin et un apprentissage rigoureux de nouveaux automatismes dits féminins, accompagnés par la discipline imposée par un maître ou une maîtresse.
Cette transformation est souvent vécue comme une libération du “fardeau” de la masculinité, mais également comme un jeu de rôle sexuel très élaboré, qui peut être vécu de façon continue ou ponctuelle selon les personnes.
Il s’agit d’une pratique adulte, fondée sur le consentement, la confidentialité et le respect des limites. Les guides et forums spécialisés insistent sur la nécessité d’un consentement explicite et du respect mutuel entre partenaires